LES 15 PLUS BEAUX CHÂTEAUX JAPONAIS
Fort de son passé féodal, le Japon compte encore aujourd’hui plus d’une centaine de châteaux, disséminés sur l’archipel tels des reliques à explorer au gré de vos voyages ! Construits en bois et en pierre, les plus célèbres d’entre eux datent de la fin du XVIe siècle et du début du XVIIe siècle, et on dit qu’il en existait autrefois plus de 25 000. Ils étaient érigés pour défendre des points stratégiques, tels que des ponts ou des routes. Je vous propose donc aujourd’hui de partir à l‘assaut des plus beaux châteaux japonais à travers une liste de mes 15 châteaux préférés !
LES CHÂTEAUX JAPONAIS, CES JOYAUX FÉODAUX
Si certains se dressent encore fièrement — soit qu’ils ont résisté aux assauts du temps et sont toujours intacts, soit qu’ils furent rénovés, puis recouverts de béton —, la plupart des châteaux japonais furent détruits durant les conflits successifs, notamment au début de l’ère Meiji (1868-1912), qui mit fin à l’époque féodale et durant laquelle le gouvernement chercha à se couper de la culture samurai. Les châteaux restants, quant à eux, furent pour beaucoup ravagés par les vagues de bombardements qui émaillèrent la Seconde Guerre mondiale, ou bien par les catastrophes naturelles. On retrouve ainsi un grand nombre de ruines de châteaux à travers tout le pays, consistant généralement en de grands parcs où l’on peut voir des restes de murs fortifiés. Bien souvent, ce ne sont pas des visites très intéressantes car les lieux sont assez vides, mais les parcs de certaines ruines se parent de magnifiques couleurs au printemps ou en automne avec leurs nombreux cerisiers ou érables.
Les châteaux japonais ne méritent certainement pas tous une visite ; ils demeurent toutefois les témoins précieux d’une époque révolue et, pour cette raison, offrent à qui le souhaite une captivante immersion dans l’histoire japonaise. Ils apportent en outre aux villes qui les abritent un regain d’attention souvent bienvenu. Il est même possible de passer la nuit dans 2 d’entre eux : le château de Hirado (préfecture de Nagasaki), et le château d’Ozu (préfecture d’Ehime), mais il faudra pour cela débourser plus de 600,000 yens (4,500€). Aussi, nombre de châteaux, en ruines ou non, ont reçu de l’UNESCO le très envié statut de Patrimoine mondial et, au niveau national, ont parfois été élevés aux rangs de Trésor national et de Bien culturel important. Parmi la centaine de châteaux encore debout aujourd’hui, seuls douze châteaux ont conservé fièrement la structure d’origine de leurs donjons en bois et sont considérés comme originaux :
- Le château de Hirosaki (préfecture d’Aomori)
- Le château de Matsumoto (préfecture de Nagano)
- Le château de Maruoka (préfecture de Fukui)
- Le château d’Inuyama (préfecture d’Aichi)
- Le château de Hikone (préfecture de Shiga)
- Le château de Himeji (préfecture de Hyogo)
- Le château de Bitchu-Matsuyama (préfecture d’Okayama)
- Le château de Marugame (préfecture de Kagawa)
- Le château de Kochi (préfecture de Kochi)
- Le château de Matsuyama (préfecture d’Ehime)
- Le château d’Uwajima (préfecture d’Ehime)
- Le château de Matsue (préfecture de Shimane)
Le classement qui suit ne se base pas sur cette liste de 12 châteaux, mais tout simplement sur les visites que j’ai préférées durant mes nombreuses pérégrinations à travers le Japon : c’est une liste personnelle des plus beaux châteaux japonais parmi les dizaines que j’ai visités. Il n’y a pas vraiment d’ordre particulier.
LE CHÂTEAU DE HIMEJI (PRÉFECTURE DE HYOGO)
À moins d’un kilomètre de la gare ferroviaire de la ville, le majestueux château de Himeji, également appelé « le château du Héron blanc » en raison de ses murs de terre et de plâtre blanchis, est à la fois un Trésor national japonais et un site classé au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1993. Rénové entre 2010 et 2015, il comprend pas moins de 83 bâtiments et son donjon principal en bois de 6 étages se visite aujourd’hui en totalité jusqu’à son sommet. À ce jour, seule l’une de ses trois douves d’origine subsiste. Si vous explorez le château le week-end ou un jour férié, vous aurez la chance d’effectuer une promenade pittoresque en bateau le long de cette même douve.
À VISITER AUTOUR
Juste à côté du château, vous pourrez vous attarder le temps d’une balade dans le jardin Kokoen, qui offre de jolis paysages à chaque saison. À Himeji, ne manquez pas non plus la visite du temple Engyo-ji, sur les hauteurs du mont Shoshazan, célèbre pour avoir servi de lieu de tournage à plusieurs scène du film Le dernier Samouraï.
LE CHÂTEAU DE MATSUMOTO (PRÉFECTURE DE NAGANO)
Le château de Matsumoto n’est pas sans rappeler celui d’Okayama, car lui aussi arbore une robe noire qui lui vaut le surnom de « corbeau ». Ce véritable joyau est classé Trésor national du Japon en raison de son donjon principal, le plus vieux encore debout dans le pays. Spécificité rare, le château peut s’enorgueillir de n’avoir jamais été reconstruit depuis son édification au XVIe siècle et offre ainsi aux visiteurs l’authenticité de sa structure d’origine. Avec des points de vue pittoresques sur l’étang qui l’entoure, le château est particulièrement photogénique, surtout durant la floraison des cerisiers en fleur. Le domaine abrite par ailleurs des matsuri saisonniers, parmi lesquels son festival de sculpture sur glace fin janvier, ainsi qu’un spectacle sons et lumières les soirs de décembre à février.
À VISITER AUTOUR
Juste à côté du château, la rue Nawate Dori invite à une balade historique et gourmande avec ses nombreux cafés et boutiques. À 25 minutes de train de Matsumoto, le lac Suwa propose des décors oniriques qui ont notamment inspiré ceux du film Your Name.
LE CHÂTEAU DE KUMAMOTO (PRÉFECTURE DE KUMAMOTO)
Situé sur l’île de Kyushu, le château de Kumamoto fut partiellement rénové en 1960, avant d’être endommagé par la série de tremblements de terre d’avril 2016. Il a finalement rouvert au public en juin 2021, même si sa restauration totale devrait encore s’étaler sur trois décennies selon des estimations récentes. Plus de 13 de ses structures restantes ont été désignées Biens culturels importants, parmi lesquelles certaines de ses pagodes en pierre. Le château abrite des spectacles variés, tels que les performances de tambours taiko données lors des festivals d’automne et de printemps. Ne manquez pas non plus les animations proposées par la troupe de samurai Kumamoto-jo Omotenashi Bushotai qui enchante les visiteurs du Château de Kumamoto de ses spectacles faisant revivre des personnages historiques locaux. Ses membres proposent également des visites guidées gratuites tôt le matin (pas besoin de réservation, ils se baladent en donnant des explications en japonais), et on peut ensuite prendre des photos avec eux devant le château.
À VISITER AUTOUR
Au niveau de la sortie Sud du château, s’étend Sakuranobaba Josaien, une reconstitution de quartier historique où l’on trouve une myriade de petites échoppes vendant des spécialités locales. Un peu plus loin dans la ville, on trouve le jardin Suizenji Jojuen, particulièrement beau à visiter.
LE CHÂTEAU DE MATSUE (PRÉFECTURE DE SHIMANE)
Le château de Matsue fut achevé en 1611 et a depuis survécu à toutes les catastrophes naturelles et incendies de la région. Surnommé « le château du pluvier » en raison de la forme particulière de sa toiture rappelant les ailes courbées de l’échassier, il doit à l’authenticité de ses 5 donjons d’être classé Trésor national depuis 2015. Situé au cœur d’un parc de 16 hectares, sa visite offre une immersion complète, que ce soit en intérieur ou en extérieur. L’ascension jusqu’au sommet est ponctuée par la mise en scène d’éléments architecturaux, ainsi que d’armes variées provenant de l’époque féodale, et débouche, au troisième étage, sur un panorama à 360° sur la ville. Une balade en bateau sur les douves vous permettra également de découvrir les ruelles paisibles de la cité.
À VISITER AUTOUR
Tout proche du château, on trouve le quartier historique de Shiomi Nawate avec ses boutiques, musées et sa superbe maison de thé Meimei-An. Un peu plus à l’est de la ville de Matsue, le jardin Yuushien est clairement l’un des plus beaux du Japon, d’une somptuosité qui évolue au fil des saisons.
LE CHÂTEAU DE KOCHI (PRÉFECTURE DE KOCHI)
Sur l’île de Shikoku, le château de Kochi se démarque avec son donjon en bois parfaitement préservé. Édifié en 1603 sur le Mont Otakasaka, il fut en grande partie ravagé par un important incendie en 1727, mais les travaux de restauration furent entamés dès 1749. L’intégralité des bâtiments principaux du château a ainsi été préservée jusqu’à aujourd’hui, si bien qu’il est classé Bien culturel Important depuis 1950. Il a, par ailleurs, été rendu célèbre par le téléfilm du studio Ghibli Je peux entendre la mer (Umi ga Kikoeru) de 1993 dans lequel il figure. La terrasse tenant lieu de sixième étage du donjon principal offre une vue panoramique sur la ville. Le parc entourant le château est quant à lui renommé pour le hanami, attirant des foules de visiteurs dont les pique-niques se prolongent jusque tard dans la soirée. Le parc abrite par ailleurs le Musée littéraire de Kochi et, non loin de là, se trouvent également le Musée d’Histoire du château de Kochi, riche d’une collection de 67,000 objets.
À VISITER AUTOUR
À proximité du château, le marché Hirome Ichiba invite à se régaler à la bonne franquette, avec notamment la grande spécialité de la région, la bonite katsuo. Tout au sud de la ville, la plage de Katsurahama est l’une des plus belles du Japon et vous plongera dans les décors du film Je peux entendre la mer.
LE CHÂTEAU DE TSURUGA (PRÉFECTURE DE FUKUSHIMA)
Arborant des murs blancs et une toiture de tuiles rouges, le château de Tsuruga se dresse dans la ville d’Aizu-Wakamatsu (préfecture de Fukushima), ce qui lui vaut d’être aussi connu sous le nom de château d’Aizu-Wakamatsu. L’édifice est notamment célèbre pour avoir résisté durant tout le mois d’octobre 1868 au siège du domaine d’Aizu, l’un des épisodes de la guerre de Boshin qui opposa les partisans de l’empereur Meiji à ceux du shogunat Tokugawa entre 1868 et 1869. Totalement détruit en 1874, le château fut reconstruit pratiquement à l’identique en 1965 et est aujourd’hui un lieu de visite populaire, proposant un spectacle évolutif au gré des saisons avec ses cerisiers, ses érables, ou encore son festival des bougies Erosoku Matsuri qui se déroule au mois de février.
À VISITER AUTOUR
Pas loin du château, le jardin Oyakuen offre un cadre pittoresque en toutes saisons, et on peut y déguster un bon thé matcha de mi-mars à fin novembre. Au nord de la ville, on peut plonger dans l’histoire de Nisshikan, une ancienne école de samurai qui formait les élites du pays.
LE CHÂTEAU DE MATSUYAMA (PRÉFECTURE D’EHIME)
Jadis forteresse imprenable, le château de Matsuyama est aujourd’hui accessible en téléphérique, en télésiège ou à pied. Datant de 1603, ce qui en fait le plus ancien des châteaux de montagne japonais, il culmine à 430 mètres d’altitude. Frappé par la foudre le jour de l’an 1784 et détruit dans l’incendie qui s’ensuivit, le donjon principal fut reconstruit au siècle suivant. En dépit du fait que le château fut à nouveau partiellement détruit par les bombardements américains de juillet 1945, au total 21 de ses bâtiments sont aujourd’hui listés comme des Biens culturels importants. Le château abrite une collection d’armes et d’armures de samurai, dont certaines que le public peut essayer le temps d’une photo souvenir.
À VISITER AUTOUR
À proximité du château, offrez-vous un moment de détente à Dogo Onsen, l’une des plus anciennes stations thermales du Japon, qui aurait inspiré les bains publics du célèbre film du Studio Ghibli Le voyage de Chihiro. Également dans les environs, Mitsuhama est le quartier portuaire de Matsuyama, et on peut y déguster les spécialités locales (notamment la daurade) dans les cafés et restaurants du coin.
LE CHÂTEAU D’OKAYAMA (PRÉFECTURE D’OKAYAMA)
Situé au bord de la rivière Asahi, le château d’Okayama fut achevé en 1597 après 8 années de travaux, puis reconstruit en 1966 en raison des importants dégâts subis durant le Seconde Guerre mondiale. Surnommé « le château du corbeau » en référence à sa couleur noire, sa visite est facilitée par l’ascenseur qui vous conduira jusqu’au sixième étage où vous pourrez admirer une vue spectaculaire sur la ville. Un atelier de céramiste propose également aux visiteurs de s‘initier à la poterie de Bizen.
À VISITER AUTOUR
Tout près du château, vous pourrez flâner dans le splendide jardin Korakuen, qui constitue l’autre joyau de la cité d’Okayama et est considéré comme l’un des 3 plus célèbres jardins du Japon. À seulement 20 minutes de train d’Okayama, la ville de Kurashiki offre quant à elle un impressionnant voyage dans le temps avec Bikan, son quartier historique.
LE CHÂTEAU D’INUYAMA (PRÉFECTURE D’AICHI)
Édifié en 1537, le château d’Inuyama serait le plus ancien château en bois du Japon. Avec ses 4 étages, il surplombe la ville d’Inuyama (littéralement « la montagne au chien »), ainsi que la rivière Kiso qui la traverse par le nord. La plateforme d’observation du quatrième étage offre une vue imprenable à 360° sur la vieille ville, la rivière et les collines environnantes. Chaque année, début avril, se répète un événement initié en l’an 1635 : l’Inuyama Matsuri, festival au cours duquel 13 chars à étages de 10 mètres de haut sont tirés à travers la cité aux avenues de cerisiers en fleurs, avant d’être illuminés à l’aide de 365 lanternes de papiers chacun.
À VISITER AUTOUR
Aux abords du château, Inuyama Jokamachi est le quartier historique de la ville, ancien lieu où vivaient les samurai. On y trouve aujourd’hui des musées et de très bons cafés et restaurants. Au sud de la ville, le sanctuaire Oagata-jinja dévoile un merveilleux spectacle de mi-février à mi-mars avec la floraison de ses 340 pruniers pleureurs qui en font une destination incontournable dans la région au début du printemps.
LE CHÂTEAU DE HIKONE (PRÉFECTURE DE SHIGA)
Situé au bord du lac Biwa (le plus grand lac du Japon), dans la préfecture de Shiga, le château de Hikone a la particularité d’être demeuré pratiquement intact jusqu’à aujourd’hui. Il jouit pour cette raison du statut de Trésor national. Connu pour son astucieux système de défense et sa jolie vue sur le lac Biwa, il abrite également Hikonyan, la mascotte de la ville de Hikone qui est l’une des plus célèbres et mignonnes du Japon.
À VISITER AUTOUR
Tout près du château, le jardin Genkyuen n’est pas bien grand, mais on peut profiter d’un agréable promenade et d’un bon matcha à son pavillon de thé. À 15 minutes de train de Hikone, la ville de Nagahama invite à flâner dans les ruelles du quartier traditionnel de Kurokabe.
LE CHÂTEAU DE NAGOYA (PRÉFECTURE D’AICHI)
Édifié à partir de 1610, le château de Nagoya, dans la préfecture d’Aichi, fut quasi-intégralement détruit par les flammes lors des raids aériens menés par les Américains en mai 1945. Il fut reconstruit à l’identique dans une réplique en béton dès 1959, avec les deux kinshachi (poisson à tête de tigre recouvert d’or) de part et d’autre de la toiture de son donjon principal, devenus les emblèmes de la ville de Nagoya. Mais, depuis 2018, d’importants travaux ont été entrepris pour détruire ce même donjon principal et le reconstruire en bois, de sorte qu’il recouvre son aspect traditionnel et réponde davantage aux normes de résistance parasismique en vigueur.
À VISITER AUTOUR
Si la ville de Nagoya est souvent critiquée pour son manque de lieux d’intérêt, c’est souvent parce que les voyageurs la connaissent mal. Pas loin du château, on trouve par exemple le joli jardin Tokugawaen et, un peu plus à l’est de la ville, le temple Togan-ji et son grand bouddha vert.
LE CHÂTEAU DE KITSUKI (PRÉFECTURE D’OITA)
Sur l’île de Kyushu, le château de Kitsuki est tout simplement le plus petit château du Japon. Construit en 1394, son donjon fut frappé par la foudre en 1608 et détruit par l’incendie qui s’ensuivit. En 1970, son donjon fut reconstruit à l’identique et, depuis, il trône fièrement dans le village historique de Kitsuki.
À VISITER AUTOUR
Aux abords du château, les ruelles historiques du village de Kitsuki offrent un véritable voyage dans le temps, avec notamment ses 2 pentes entre lesquelles passe une rue traditionnelle, conférant à Kitsuki le surnom de « ville sandwich ». À 27 minutes de train de Kitsuki, c’est la ville de Beppu qui vous fera transpirer dans ses sources chaudes infernales.
LES AUTRES CHÂTEAUX JAPONAIS
Je vous ai présenté mes 12 châteaux japonais préférés, mais il en existe plus d’une centaine encore aujourd’hui, et plein d’autres auraient pu trouver leur place dans ce classement personnel, comme par exemple le célèbre château de Kanazawa (préfecture d’Ishikawa) et son magnifique jardin Kenrokuen, le château de Hirosaki (préfecture d’Aomori) et ses nombreux festivals saisonniers offrant une expérience constamment renouvelée tout au long de l’année, ou encore le château d’Osaka qui constitue un havre de verdure et de tranquillité très apprécié au cœur de l’effervescence urbaine.
Il y a également le château d’Iga Ueno (préfecture de Mie), influencé par la culture ninja de la région, le château de Sunomata (préfecture de Gifu) et son festival des cerisiers nocturnes au printemps, ou encore le château de Hiroshima (préfecture de Hiroshima), reconstruit après l’explosion atomique de 1945.
Enfin, même si j’ai eu l’occasion de visiter des dizaines de châteaux japonais, il m’en reste encore plein à découvrir, qui ne peuvent ainsi pas encore se retrouver dans ce classement mais qui sont déjà sur ma liste de lieux à visiter, tels que le château de Maruoka (préfecture de Fukui), le château de Kakegawa (préfecture de Shizuoka), ou encore le château de Bitchu Matsuyama (préfecture d’Okayama).
Vous l’aurez compris, la richesse du patrimoine féodal japonais va bien au-delà de ce classement ! Les châteaux fascinants à explorer sont en réalité si nombreux qu’il serait réducteur de s’arrêter à cette liste. En somme, chaque château révèle une facette unique de l’histoire et de la culture du Japon féodal, invitant les explorateurs modernes que nous sommes à un voyage captivant à travers le temps. Si vous aimez ce type d’article, vous pouvez également consulter ceux sur les 10 meilleurs villages à onsen du Japon, les 10 meilleurs onsen du Japon, et les 10 plus beaux jardins japonais.